Les bouteilles et les canettes d’Orangina font le grand huit à L’Européenne d’Embouteillage

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ComptoirDesEntreprises a visité L’Européenne d’Embouteillage à La Courneuve. L’entreprise qui appartient au groupe Orangina Schweppes est référencée dans le secteur de la production de boissons rafraîchissantes. Avec environ 600 salariés en France et plusieurs sites de production, L’Européenne d’Embouteillage assure la production de bouteilles, canettes et bag in box pour différents groupes comme Orangina Schweppes, Coca-Cola, Pepsi… L’usine est une ancienne imprimerie et le début de l’embouteillage a commencé dans les années 60/70.

La visite de l’usine commence par une présentation dans la salle « musée ». Petit focus sur les produits du groupe Orangina Schweppes et explication du procédé de fabrication de l’usine.  Ensuite, looping dans l’usine… Cela secoue même si en ce moment, la production est plutôt calme (faute à la météo qui  n’encourage personne à aller boire un petit verre bien rafraîchissant en terrasse) !

En bref, tout commence à la livraison des bouteilles neuves, des cannettes vides mais aussi des bouteilles consignées récupérées chez les restaurateurs / bars. A droite, premier virage : dépalettisage (ou décaissage) puis lavage.

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ARRET obligatoire à la mireuse, la machine qui fait une radiographie de toutes les bouteilles et là, pour certaines bouteilles abîmées ou sales, c’est un hors piste vers la poubelle ! Environ 20 tonnes de verre sont jetées par semaine soit 5 bouteilles sur 100. Pendant ce temps là, à la siroperie, on élabore le sirop des boissons à partir des matières premières livrées par les fournisseurs. Si l’on prend l’exemple du sirop d’Orangina, il est composé de concentré d’Orangina, de zestes d’orange, de sucre et d’un peu d’eau.

Retour sur la ligne de production, virage à gauche… le sirop est dilué dans l’eau et pour certaines boissons, on y ajoute du gaz. On passe au soutirage et à l’encapsulage. Pour certaines boissons, la pasteurisation est obligatoire afin de se prémunir des risques bactériologiques.

Dernier tout : étiquetage, conditionnement, palettisation puis dernière ligne droite, direction la zone de stockage. Jusqu’à 200 camions peuvent venir chaque jour récupérer les boissons.

Quelques chiffres qui font tourner la tête : Plus de 19 000 bouteilles consignées sont embouteillées par heure. Cela grimpe à 22 000 bouteilles par heure pour ce qu’on appelle les bouteilles perdues. Les boites dépassent les 36 000 boites par heure !   2h de découverte qui se terminent par un pschitt rafraîchissant… En savoir plus sur l’Européenne d’Embouteillage.

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